Les femmes et les jeunes du Liptako–Gourma partagent les expériences et bonnes pratiques
L’Ecole de Maintien de la Paix « Alioune Blondin Bèye », avec l’appui technique et financier du Japon, a organisé un séminaire international intitulé : « les initiatives de transformation des conflits et la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent : expériences et bonnes pratiques des femmes et des jeunes dans le Liptako-Gourma ». L’évènement, qui s’est ouvert, ce 26 octobre à Bamako, se poursuivra jusqu’au mercredi 28 octobre 2020.
A l’ouverture, la ministre de la Promotion de la femme, de l’enfant et de la famille, Mme Bouaré Bintou Founè Samaké, a salué l’Ecole de Maintien de la Paix, et son partenaire financier le Japon, pour l’organisation de ce séminaire international, dont les thématiques cadrent parfaitement, avec les préoccupations du moment, dans notre espace commun, le Liptako Gourma.
« Comme vous le savez, la région frontalière entre le Burkina Faso, le Mali et le Niger, également connue sous le nom de Liptako-Gourma, est minée par un climat d’insécurité et de violences depuis 2012. La fragilité de cet espace puise ses racines dans un terreau de vulnérabilités socio-économiques » a affirmé la ministre Bouaré. Avant de signifier que dans ce contexte, les femmes et les jeunes, ont un rôle prépondérant à jouer pour le retour de la paix et la cohésion sociale. Ce rôle apparaît aujourd’hui comme essentiel, voire vital.
D’après elle « s’il est vrai que les communautés subissent les conséquences des conflits armés et du terrorisme, il est tout aussi vrai, que les femmes et les jeunes, sont particulièrement les plus touchés, en raison de leur place dans la société et de leur vulnérabilité ».
Auparavant, le directeur de l’École de maintien de la paix Alioune Blondin Bèye de Bamako, Mody Berethé, avait affirmé que la région frontalière entre le Mali, le Burkina Faso et le Niger fait face à une crise multiforme. Laquelle est, selon lui, causée par l’extrémisme violent la criminalité transnationale organisée et les conflits intercommunautaires.
« La prévention de ces fléaux demeure le meilleur paramètre de la paix et du développement, qui sont interdépendants et constituent ensemble des conditions essentielles de la stabilité et du développement socio-économique durable » a déclaré le directeur Mody Berethe.
L’ambassadeur du Japon à la cérémonie, Daisuke Kuroki, a rappelé que ce séminaire entre dans le cadre du projet « Appui à l’école de maintien de la paix-Alioune Blondin Bèye pour soutenir la paix au Mali et dans le Liptako-Gourma ». Ce projet financé à hauteur de 131,5 millions de F CFA vise à développer un cadre de partage de meilleures pratiques et expériences entre les acteurs de sécurité et à coordonner les mécanismes, les actions et initiatives de stabilisation.
Rappelons que la rencontre regroupe une cinquantaine de participants principalement des femmes et des jeunes du Burkina, du Niger et du Mali. Entre autres pays qui subissent les conséquences de cette insécurité qui sévit dans les zones frontalières en proie à des attaques djihadistes et à un risque de conflits intercommunautaires. L’Ecole de Maintien de la Paix « Alioune Blondin Bèye », avec l’appui technique et financier du Japon, a organisé un séminaire international intitulé : « les initiatives de transformation des conflits et la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent : expériences et bonnes pratiques des femmes et des jeunes dans le Liptako-Gourma ». L’évènement, qui s’est ouvert, ce 26 octobre à Bamako, se poursuivra jusqu’au mercredi 28 octobre 2020.
A l’ouverture, la ministre de la Promotion de la femme, de l’enfant et de la famille, Mme Bouaré Bintou Founè Samaké, a salué l’Ecole de Maintien de la Paix, et son partenaire financier le Japon, pour l’organisation de ce séminaire international, dont les thématiques cadrent parfaitement, avec les préoccupations du moment, dans notre espace commun, le Liptako Gourma.
« Comme vous le savez, la région frontalière entre le Burkina Faso, le Mali et le Niger, également connue sous le nom de Liptako-Gourma, est minée par un climat d’insécurité et de violences depuis 2012. La fragilité de cet espace puise ses racines dans un terreau de vulnérabilités socio-économiques » a affirmé la ministre Bouaré. Avant de signifier que dans ce contexte, les femmes et les jeunes, ont un rôle prépondérant à jouer pour le retour de la paix et la cohésion sociale. Ce rôle apparaît aujourd’hui comme essentiel, voire vital.
D’après elle « s’il est vrai que les communautés subissent les conséquences des conflits armés et du terrorisme, il est tout aussi vrai, que les femmes et les jeunes, sont particulièrement les plus touchés, en raison de leur place dans la société et de leur vulnérabilité ».
Auparavant, le directeur de l’École de maintien de la paix Alioune Blondin Bèye de Bamako, Mody Berethé, avait affirmé que la région frontalière entre le Mali, le Burkina Faso et le Niger fait face à une crise multiforme. Laquelle est, selon lui, causée par l’extrémisme violent la criminalité transnationale organisée et les conflits intercommunautaires. « La prévention de ces fléaux demeure le meilleur paramètre de la paix et du développement, qui sont interdépendants et constituent ensemble des conditions essentielles de la stabilité et du développement socio-économique durable » a déclaré le directeur Mody Berethe.
L’ambassadeur du Japon à la cérémonie, Daisuke Kuroki, a rappelé que ce séminaire entre dans le cadre du projet « Appui à l’école de maintien de la paix-Alioune Blondin Bèye pour soutenir la paix au Mali et dans le Liptako-Gourma ». Ce projet financé à hauteur de 131,5 millions de F CFA vise à développer un cadre de partage de meilleures pratiques et expériences entre les acteurs de sécurité et à coordonner les mécanismes, les actions et initiatives de stabilisation.
Rappelons que la rencontre regroupe une cinquantaine de participants principalement des femmes et des jeunes du Burkina, du Niger et du Mali. Entre autres pays qui subissent les conséquences de cette insécurité qui sévit dans les zones frontalières en proie à des attaques djihadistes et à un risque de conflits intercommunautaires.